Est-ce que je te stresse ? J’ai mis mon pull à l’envers Et tu dis « c’est bien le moment ! » Aujourd’hui je n’ai pas envie de tout disséquer Je n’ai pas l’intention de te décortiquer tu sais Mais c’est plus fort que moi.
Je bondis avant que le coup ne parte Tu me tapes avec une règle qui se brise en mille morceaux Et ça m’aurais plaqué au sol si je ne l’étais pas déjà Si seulement je pouvais chasser le chasseur De la patience, c’est tout ce que je veux, Un moyen de calmer ma voix en colère Et de la délivrance, c’est tout ce que je veux.
Est-ce que je te fatigue ? Tu dois te demander pourquoi je suis si obstinée et énervée, Je frisson de la solitude me consume, Je suis comme Estelle J’aime bien m’y rouler dedans et après la recracher Ton apathie me frustre, Et je suis effrayée par les pratiques malhonnêtes en ce pays.
Si seulement je pouvais rencontrer le Créateur Je suis fascinée par l’homme spirituel Son humble nature me rend humble Je donnerais tout pour rencontrer une âme sœur Quelqu’un pour attraper cette dérive Et je donnerais tout pour rencontrer mon autre moi.
Assez parler de moi, parlons un peu de toi Assez parler de toi, parlons un peu de la vie Des conflits, de la folie et du son des faux-semblants Qui se répandent tout autour … tout autour. Pourquoi es-tu si pétrifié par le silence ? Peux-tu l’apprivoiser ?
Est-ce que tu pensais à tes factures, à ton ex, à ton planning ? Ou au moment où tu allais mourir ? Ou étais-tu en proie à une prochaine attraction ? Un interlude intellectuel, c’est tout ce qu’il me faut Une âme pour creuser plus profondément le trou Et je n’ai aucune conception du temps si ce n’est qu’il file entre les doigts.
Si seulement je pouvais tuer l’assassin Un homme de paix, c’est tout ce que je veux, Un endroit où trouver un socle commun. Une longueur d’onde, c’est tout ce que je veux Tout ce que je veux c’est me sentir en sécurité, Un moyen de délier mes mains Un peu de justice, c’est tout ce que je veux.
Je veux que tu saches que je suis contente pour toi Je vous souhaite le meilleur à tous les deux. Une version plus âgée de moi Est-elle perverse comme moi ? Est-ce qu’elle te taille une pipe au cinéma ? Est-ce qu’elle parle bien ? Et te fera-t-elle un bébé ? Je suis sûre qu’elle ferait vraiment une excellente mère.
Car l’amour que tu donnais, que nous avons fait N’a pu être assez grand pour que tu t’ouvres réellement, non, Et à chaque fois que tu prononces son nom, Sait-elle que tu me disais que je serai à toi ? Jusqu’à ta mort, jusqu’à ta mort, Mais tu es encore là.
Et je suis là pour te rappeler Le bordel que tu as laissé quand tu es parti Tu es injuste de me refuser La croix que je porte et que tu m’as donnée Tu devrais le savoir.
Tu sembles aller très bien, les choses ont l’air paisibles, Je ne vais pas aussi bien, sache-le Est-ce que tu m’as oublié, monsieur Duplicité ?
Au milieu du repas, je t’ai détesté, Quelle gifle la vitesse à laquelle tu m’as remplacé ! Est-ce que tu penses à moi quand tu baises avec elle ?
Car l’amour que tu donnais, que nous avons fait N’a pu être assez grand pour que tu t’ouvres réellement, non, Et à chaque fois que tu prononces son nom, Sait-elle que tu me disais que je serai à toi ? Jusqu’à ta mort, jusqu’à ta mort, Mais tu es encore là.
Car l’amour que tu donnais, que nous avons fait N’a pu être assez grand pour que tu t’ouvres réellement, non, Et à chaque fois que tu prononces son nom, Sait-elle que tu me disais que je serai à toi ? Jusqu’à ta mort, jusqu’à ta mort, Mais tu es encore là.
Car la mauvaise blague que tu as laissée dans le lit c’était moi Et je ne vais pas me laisser dépérir Tu l’apprendras dès que tu fermeras les yeux Et chaque fois que je grifferai le dos d’un autre homme J’espère que tu le ressentiras, D’ailleurs …. Est-ce que tu le sens ?
Car l’amour que tu donnais, que nous avons fait N’a pu être assez grand pour que tu t’ouvres réellement, non, Et à chaque fois que tu prononces son nom, Sait-elle que tu me disais que je serai à toi ? Jusqu’à ta mort, jusqu’à ta mort, Mais tu es encore là.
Ca ne suffit pas parfois Si tu n’as aucun défaut, alors tu gagneras mon amour N’oublie pas d’être à la première place N’oublie pas de garder ce sourire sur ton visage.
Sois un bon garçon, Fais un effort, Fais ton évaluation Et rend-moi plus fière de toi.
Ça va prendre combien de temps avant que tu ne bousilles tout ? Combien de fois dois-je te dire de te dépêcher ? Avec tout ce que je fais pour toi La moindre des choses, c’est de te tenir tranquille.
Sois un bon garçon, Fais un effort, Ce n’était pas assez bien Pour nous rendre fiers.
Je vis à travers toi Je fais de toi ce que je n’ai jamais été Si tu es le meilleur, alors moi aussi peut-être Comparé à elle, comparé à lui, Je fais vraiment tout ça pour ton bien Tu me pardonneras pour la dureté de mes mots Qu’est-ce qui ne va pas … pourquoi tu pleures ?
Sois un bon garçon Encore un petit effort Ca n’était pas assez rapide Pour nous rendre heureux On t’aimera comme tu es Si tu es parfait.
Je suis cassée mais heureuse Je suis pauvre mais gentille Je suis petite mais en bonne santé Je suis grande mais j’ai les pieds sur terre Je suis saine mais je suis submergée Je suis perdue mais pleine d’espoir bébé Et finalement Tout va s’arranger, s’arranger, s’arranger J’ai une main dans la poche Et l’autre est levée, paume vers le haut.
Je me sens ivre mais je suis sobre Je suis jeune et je suis sous-payée Je suis fatiguée mais je travaille Je fais attention mais je suis agitée
Je suis là mais je suis partie J’ai tort et je suis désolée bébé Et finalement Tout va s’arranger.
J’ai une main dans la poche Et l’autre agite une cigarette Et il s’avère Que mon but, je ne l’ai pas tout à fait atteint. J’ai une main dans la poche Et l’autre fait le signe de la paix.
Je suis libre mais obsessionnelle Je suis écolo mais je suis sage Je suis dure mais je suis sympa bébé Je suis triste mais je ris Je suis courageuse mais je suis une poule mouillée J’ai la nausée mais je suis jolie bébé Et en résumé Personne n’a encore tout à fait atteint son but.
J’ai une main dans la poche Et l’autre joue du piano Et, en fin de compte, Tout va s’arranger, s’arranger, s’arranger. J’ai une main dans la poche Et l’autre hèle un taxi.
Attends une minute, mec Tu as mal prononcé mon nom Tu n’as pas attendu d’avoir toutes les infos Avant de me tourner le dos. Attend une minute, monsieur Tu heurtes mes sentiments Tu me vois comme une gentille marionnette sur le retour Et toi tu as le goût d’un parasite.
Je vois clairement en toi Je te connais bien Je te ressens bien Je marche à travers toi.
Tu ne me prends pas au sérieux Tu me prends pour une enfant Tu laisses traîner ton regard sur mon cul Et tu jouais au golf de temps en temps.
Ta poignée de main est comme un poisson Tu me donnes des tapes sur la tête Tu m’as amenée au restau, du bon vin, de la bonne bouffe et puis un 69, Mais tu n’as pas écouté un traitre mot de ce que j’ai dit.
Je vois clairement en toi Je te connais bien Je te ressens bien Je marche à travers toi.
Coucou Monsieur l’Homme, Tu ne pensais pas que je reviendrais Tu ne pensais pas que je me pointerais avec mon armée Et ces munitions sur le dos.
Maintenant que je suis mademoiselle Machin Maintenant que je suis zillionnaire Tu épluches les crédits à ton nom Et tu te demandes pourquoi tu n’en trouves pas.
Je vois clairement en toi Je te connais bien Je te ressens bien Je marche à travers toi.