Nous t’avons portée dans nos bras à Independance Day Et aujourd’hui tu nous rejettes et tu t’éloignes de nous Oh, quelle fille chérie, sous le soleil, pourrait traiter un père de la sorte ? L’attendre de pied ferme et sans cesse lui répondre « non » ! Des larmes de rage, des larmes de douleur, Pourquoi dois-je toujours être le voleur ? Viens me trouver, nous sommes si fragiles, tu sais, Et la vie est courte.
Nous n’avons pas souffert Quand tu es partie pour t’adonner A cette fausse éducation A laquelle nous n’avons jamais cru. Et maintenant le cœur est rempli d’or Comme le serait une bourse. Mais, l’amour qui passe du mauvais au pire, Quel genre d’amour est-il ?
Des larmes de rage, des larmes de douleur, Pourquoi dois-je toujours être le voleur ? Viens me trouver, nous sommes si fragiles, tu sais, Et la vie est courte.
Nous t’avons montré la meilleure façon de t’en aller Et avons dessiné ton nom dans du sable, Alors que pour toi, ce n’était rien de plus Qu’un endroit où t’installer. Je veux que tu saches que pendant qu’on veillait sur toi Tu découvrais que tu ne pourrais te fier à personne Et j’étais moi-même de ceux Qui pensaient Que c’était assez puéril.
Des larmes de rage, des larmes de douleur, Pourquoi dois-je toujours être le voleur ? Viens vers moi, nous sommes si fragiles, tu sais, Et la vie est courte.
L’ancêtre du doigt montrait l’au-delà Et tristement, il dit à son fils unique « Fais bien attention à tes actes, Un jour tu le paieras ».
Un faux témoin a répandu la rumeur Selon laquelle il y aura un perdant Que ce soit elle, toi ou moi, Nous ne pouvons rien y faire.
Ne dis pas un mot Et ne révèle jamais ce que tu as appris. Le temps finira toujours par te dire Quand tu auras vraiment, vraiment échoué. Goudron et plumes ! Epines et chardons ! C’est l’un ou l’autre ! Il nous avertit gentiment.
Tu regardes par la fenêtre, Dis-moi ce que tu vois ? Je vois un veau couleur doré Qui me montre du doigt.
Je suis assis là depuis un sacré bout de temps A attendre la fin. Tel une rôtissoire allumée, Je tente ma chance, je nage ou je me noie.
Faux témoin, au regard mauvais, Je ne pouvais pas mentir. Les fantômes et les saints ne me dérangent pas, Je ne suis pas seul tu vois.
Goudron et plumes ! Epines et chardons ! C’est l’un ou l’autre ! Il nous avertit gentiment.
Autrefois je traversais les halls d’une gare Quelqu’un t’appelait Dans la rue j’entendais rire les enfants, Tous se ressemblaient.
Merveille, me connaissais-tu ? Sais-tu pour quoi je vis ? N’y a-t-il rien que tu puisses me montrer ? La vie semble peu encline à donner.
Autrefois j’escaladais le flanc d’une montagne Et j’y mangeais le fruit sauvage. Je m’endormais jusqu’au lever du jour Et je pouvais sentir tes cheveux. Tout le monde ne rêve-t-il pas ? Et la voix que j’entends est réelle Et, par-dessus tout, l’intrigant oisif On n’a rien à ressentir.
Le passé me laisse un vide Demain n’arrive jamais J’ai pu chanter le son de ton rire. J’ai beau ne pas te connaître Il doit y avoir un moyen de te rembourser Et, par-dessus tout, tout le bien que tu as fait, Si une rumeur devait te retarder L’amour semble peu à sauver.
Elle lit dans les lignes et elle mène la vie Qu’elle a si bien apprise des épouses d’antan. Ça fait si étrange de l’embellir, tu sais, moi, je ne changerais rien. Mais, écoute-moi, si tu es près de moi, puis-je la réorganiser ? La sentinelle me couvre De son remède. Je n’y vois rien et j’ai du mal à ressentir Je crois que sa magie doit être vraie
Je ne peux pas t’atteindre depuis les portes de ton jardin, Tu sais qu’elles sont toujours verrouillées par le maître des lieux Maintenant il se moque de tes pleurs, il croit que tu mens Je ne doute pas que tu essaieras de sortir. Quand tu connaîtras de bons moments, Je sais que les chiens ne te dérangeront pas On s’adonnera à la contrebande J’ai trouvé un endroit où ils ne nous trouveront pas.
Tu sais que je crois vraiment en ton hexagramme Mais peux-tu me dire comment ils ont eu connaissance du plan ? As-tu trébuché ou glissé sur leurs offrandes ? Sais-tu que tu n’étais qu’un escroc ? Tu le savais, pourquoi tu l’as fait, moi je me cachais dans l’obscurité Maintenant je dois m’en aller Et je suppose que tu dois vraiment rester Fidèle à la loi de la mission A Modoc, Arkansas.